mardi 28 février 2017

Côte-d’Ivoire: Des Ivoiriens aux USA mécontents du choix de Inza Camara comme nouveau Sénateur

elon l’article 87 de la nouvelle Constitution récemment promulguée en Côte-d’Ivoire, la Chambre haute du nouveau Parlement, le Senat devra être installé aux alentours du 10 avril prochain. Ce qui signifie qu’avant cette date les 120 sénateurs qui doivent composer cette chambre devraient être connus.
Les 2/3 des 120 sénateurs devront être élus au suffrage indirecte par les conseillers régionaux et municipaux. Le 1/3 restant sera composé de sénateurs choisis par le président de la république parmi les ivoiriens établis en Côte-d’Ivoire et hors du pays.
Les premiers calculs donnent 7 sénateurs, dits sénateurs des Ivoiriens de l’étranger. Ceux-ci comme le prévoit la loi, seront tous nommés par le président Alassane Ouattara.
L’actuel époux de Kandia Camara, la ministre de l’Education nationale, monsieur Inza Camara, résident aux USA de belles lurettes, serait selon nos informations, l’un de ces «happy few» choisis par le chef de l’Etat pour siéger au sein du tout premier Senat dans l’histoire de la Côte-d’Ivoire.
«Chez nous ici c’ est encore le mari de Kandia, Inza Camara qui sera sénateur ooh», a ironisé un cadre ivoirien interrogé à New-York. Il faut dire que monsieur Camara qui occupe depuis 2012 le poste de Directeur du Bureau économique de la Côte d’Ivoire aux USA, est fortement contesté dans la communauté ivoirienne au pays de l’oncle Sam. «Ces gens ne valent vraiment rien et ils refusent de changer. Toutes les nominations doivent se faire au sein de leur clan. Fallait-il encore choisir ce monsieur qui à maintes reprises à prouver son incompétence? Tout cela est révoltant», a ajouté notre interlocuteur pour marquer son mécontentement.




SOURCE :connectionivoirienne

Quand Donald Trump accuse Barack Obama d'organiser les fuites de la Maison Blanche

Sans avancer davantage de preuves, le président américain a affirmé que son prédécesseur était à l'origine des fuites d'informations confidentielles dans la presse. Selon lui, cela poserait des questions «très sérieuses pour la sécurité nationale».
Le président des Etats-Unis Donald Trump a déclaré, lors d'un entretien accordé à la chaîne d'information Fox News le 27 février, qu'il soupçonnait le camp Obama d'être à l'origine des fuites d'informations en provenance la Maison Blanche qui ont alimenté la presse américaine et internationale ces dernières semaines.
«Je pense qu'Obama est derrière tout ça parce que son équipe est certainement derrière tout ça, et les fuites viennent probablement de son camp», a affirmé le président américain, sans pour autant étayer ses accusations. «On ne sait jamais exactement ce qui se passe en coulisses», a-t-il toutefois nuancé.
S'agissant de la portée de ces fuites organisées, selon lui, par des membres de l'administration favorables au camp démocrate, Donald Trump a estimé qu'elles posaient des questions «très sérieuses pour la sécurité nationale». «Mais c'est ainsi qu'est la politique», a-t-il déploré.
Donald Trump a également été interrogé sur les manifestations d'opposants ayant perturbé différents conseils municipaux de villes dirigées par les Républicains ces dernières semaines. Il a une fois encore estimé que ces mouvements étaient le fait de militants démocrates et mis en cause son prédécesseur : «Je crois qu'Obama est derrière ça», a-t-il répété.
Au mois de janvier, après que la presse a rapporté le contenu de conversations entre Donald Trump et ses homologues australien et mexicain, le président des Etats-Unis avait déjà accusé les «gens d'Obama» d'être à la manœuvre. Dans la foulée, un ex-conseiller de Donald Trump avait affirmé que les partisans d’Obama au sein des services de renseignement américains essayaient de nuire au président en organisant des fuites illégales.





SOURCE :francais.rt

La seule voie de la réconciliation en Côte-d’ivoire reste les Libérations de Gbagbo et Blé Goudé

Un mince argument nous empêche souvent d’admettre une vérité sublime, c’est un grain de sable dans l’œil qui nous voile la lumière »
(John Petit-Senn)
Les pays occidentaux ne veulent pas que les pays en développement sortent de l’ornière dans laquelle ils sont. Ces pays ont besoin de Présidents soumis et dociles en Afrique. Les présidents qui souhaitent le meilleur pour leurs peuples deviennent automatiquement les ennemis des occidentaux. Et la pratique qu’ils affectionnent aujourd’hui après la période des assassinats, reste la déportation. En Côte d’Ivoire, Laurent Gbagbo incarnait le combat contre l’injustice et la soumission qu’on nous proposait. Pour contrer sa lutte et imposer un des leurs au pouvoir, il a été déporté à la Haye. C’était juste pour laisser le Président Ouattara gouverner. Comment comprendre les motivations de cette cour, la CPI, qui ne juge que les faibles ? En réalité, la CPI est une cour dont la vocation première est d’intimider les présidents africains qui ont une vision indépendantiste. Les présidents africains qui tuent pour la défense des intérêts occidentaux sont épargnés et ceux qui se défendent contre les sales rebellions sont poursuivis. C’est le cas du Président Laurent Gbagbo qui n’a rien fait mais qui se retrouve à la Haye pendant que les bourreaux sont au pouvoir à Abidjan.
Depuis 2011, les sirènes de la démocratie ont cessé de retentir dans notre pays. Mais ce n’est pas l’instauration de la démocratie qui intéresse les pays occidentaux. Bien au contraire, ce qui les arrange, ce sont les rebellions et les coups d’Etat qui leur permettent de piller les ressources du continent. Mais ces mêmes occidentaux arrivent toujours par comprendre que leurs intérêts, dans le long terme, coïncident au contraire avec la stabilité des pays africains. Dans le cas de la Côte d’Ivoire, la communauté internationale a cru qu’en aidant le Président Ouattara à produire des chiffres, la réconciliation allait suivre automatiquement. Avec les multiples aides financières, le pays a enregistré une croissance appauvrissante et à crédit. Le résultat au niveau social est catastrophique : la pauvreté augmente à un rythme géométrique. Le président Ouattara lui-même reconnait qu’il est impuissant face aux défis à relever. Le bilan de tout ça c’est que la stabilité politique et la cohésion sociale ont volé en éclat avec le positionnement des Hommes politiques dans la classe politique. La lutte egocentrique pour le pouvoir a conduit notre pays dans un verglas politique et social. Le vivre ensemble est désarçonné ainsi que l’équilibre politico-social du pays. Nous restons naïfs et amorphes alors que les prédateurs s’abattent sur notre pays en décomposition. Ces prédateurs profitent, non seulement de l’absence de notre engagement patriotique décisif en faveur d’une paix définitive, fondée sur des valeurs démocratiques et de l’Etat de droit. Mais aussi et surtout, ils profitent de l’attitude de compromission et de division politicienne des protagonistes ivoiriens. La grande question de cette Côte d’Ivoire de l’après-crise, c’est la réconciliation, le rétablissement et la consolidation des institutions et des libertés politiques. Malgré son très sincère et vif désir d’aller à la réconciliation, le peuple ivoirien ne comprend pas les desseins des occidentaux. Ce qu’il est donné de constater, c’est que la réconciliation est en panne sèche en Côte d’Ivoire. La politique a divisé des familles, des régions et le pays tout entier. La raison est simple : le mal a pris le dessus et le respect des règles a disparu. La situation est tellement pitoyable car les bourreaux se prennent pour des victimes. Cette injustice fait qu’il est impossible d’avoir une réconciliation en Côte d’Ivoire. Laurent Gbagbo est rentré dans l’Histoire et il a tellement marqué les esprits qu’il est impossible que la paix gagne les cœurs si ce dernier n’est pas en liberté. Il est temps que la communauté internationale aide la Côte d’Ivoire à retrouver durablement la paix. Et cela passe par la libération pure et simple de Laurent Gbagbo et de Blé Goudé. La CPI gagnerait si elle a encore un peu de dignité, à cesser de torturer physiquement et psychologiquement nos braves héros. Il est encore temps pour les occidentaux de corriger les errements de la France de Sarkozy en libérant Laurent Gbagbo et Blé Goudé car ils sont innocents. La colère qui gronde en Afrique est pour l’heure une sommation interpellative. Mais jusqu’à quand cela va durer car notre patience a des limites. La Côte d’Ivoire est la locomotive de la zone UEMOA et la prospérité de cette zone passe par la stabilité politique dans ce pays. Or, il est impossible que le pays retrouve sa quiétude si le président Laurent Gbagbo n’est pas libéré. La seule voie de la réconciliation en Côte d’Ivoire reste la libération du Président Gbagbo. Laurent Gbagbo est devenu un prophète dont le seul mot apaise les cœurs et conduit à la réconciliation.






SOURCE :connectionivoirienne

Kendji Girac reconnait avoir profité d’une vaste arnaque au permis de conduire

Kendji Girac, révélé par « The Voice », le télé-crochet de TF1, reconnait avoir bénéficié d’une tricherie destinée à lui assurer d’obtenir son code de la route contre le paiement de la somme de 1500 euros.



Le Pari­sien nous apprend qu’une affaire de fraude est jugée aujourd’hui à Créteil. Il s’agit d’une vaste fraude au permis de conduire.
Une famille est en effet soupçonnée d’avoir organisé, dans ses quatre auto-écoles du Val-de-Marne et de Seine-et-Marne, une tricherie destinée à assurer à ses élèves d’obtenir le code de la route contre le paiement d’une somme allant de 2500 à 3000 euros.
Kendji Girac fait partie des 300 personnes soupçon­nées d’avoir eu recours à ce système de fraude.
Et il l’a confirmé dans une lettre lue dans l’enceinte du tribunal.
«J’étais en pleine tour­née. Quand j’ai su ça, ça m’ar­ran­geait. Je suis allé à l’auto-école avec mon chauf­feur. J’ai payé 1 500 euros. La conduite c’était réglo : je sais conduire depuis long­temps», explique-t-il.
Ce système de fraude aurait, selon les enquê­teurs, permis aux accu­sés de toucher 740 000 euros au mini­mum.




SOURCE : le gossipe
Kellyanne Conway, la conseillère de Donald Trump, s’est attirée les foudres des réseaux sociaux pour s’être installée dans un sofa du bureau ovale pour prendre une photo du président avec des dirigeants de lycées et d’universités historiquement noirs.



Sur cette photo dévoilée par l’AFP, Kellyane Conway est agenouillée sur le sofa, gardant ses chaussures, au moment où le président américain allait prendre la pose avec « des dirigeants de lycées et d’universités historiquement noirs ».
«Conway qui garde ses chaussures sur le sofa du bureau ovale, c’est en phase avec le niveau général de manque de respect dont l’équipe Trump a fait preuve », commente notamment Kaivan Shroff, étudiant à Yale.
«Les éducateurs afro-américains les plus respectés du pays sont rassemblés à la Maison Blanche, et Kellyanne Conway n’est même pas capable de leur montrer la courtoisie la plus élémentaire », dénonce site féminin Jezebel.
Cette conseillère avait déjà créé la polémique lors d’une interview télévisée en évoquant un attentat, celui de Bowling Green, qui n’avait jamais eu lieu.





SOURCE :legossip

Education nationale : La FESCI maintient la marche


Assi  Fulgence, secrétaire général de la Fesci, a confirmé dans un communiqué parvenu hier à un média, le maintien du mouvement de protestation.

 « A 24h de la marche, il n’y a eu aucune négociation entre la Fesci et la ministre Kandia Camara. Jusque-là, elle refuse tout dialogue avec le bureau exécutif national arguant que la Fesci ne couvre pas son département et qu’elle n’a aucune négociation à mener avec  un syndicat qu’elle ne reconnaît pas. Nous  en déduisons que le mépris des préoccupations des élèves demeure. Aussi la marche est maintenue », précise le général Assi Fulgence.
Les raisons de la marche…
Selon la FESCI des élèves ont été emprisonnés et d’autres radiés suite à des manifestations.
 Et malgré des appels à la négociation pour demander la libérté de ces derniers, la ministre de l’éducation nationale Kandia Camara aurait fait la sourde oreille.




SOURCE :lebabi

Philippines: Rodrigo Duterte veut relancer la guerre antidrogue

Aux Philippines, Rodrigo Duterte appelle la police à reprendre la guerre antidrogue qui a déjà fait près de 7 000 morts depuis son arrivée au pouvoir, il y a huit mois. Le président philippin avait annoncé une suspension temporaire après des révélations de corruption au sein de la bridage des stupéfiants.
Avec notre correspondante aux Philippines, Marianne Dardard
La trêve aura duré un mois. Rodrigo Duterte a ordonné le recrutement de jeunes policiers non corrompus pour reprendre et amplifier les opérations antidrogue. Depuis leur suspension officielle, les narcotrafiquants sont de retour dans les rues, s'est justifié le président philippin.
Le mois dernier, la police philippine avait annoncé suspendre sa chasse, suite au meurtre d'un homme d'affaires sud-coréen, sous couvert d'une opération antidrogue. L'homme avait été retrouvé étranglé à l'intérieur même du quartier général des forces de l'ordre.
La police est également accusée de tirer sans sommation sur les suspects. « Plus nous attendons avant de reprendre la guerre antidrogue, plus le problème du narcotrafic risque de s'aggraver », a déclaré Rodrigo Duterte. « Je ne veux pas que nos efforts des sept derniers mois soient gâchés », a-t-il poursuivi.






SOURCE :rfi

La population de Mossoul souffre d'une opération préparée «à la hâte» et Daesh en tire profit

L'offensive sur Mossoul soutenue par l'Occident fera certainement beaucoup de victimes dans la population civile, qui souffre toujours le plus de ce type de combat, affirme le diplomate britannique Alastair Crooke.
Plus de 2 000 personnes ont fui la ville de Mossoul en un seul jour, alors qu'une offensive soutenue par les Etats-Unis avance dans les quartiers ouest de la ville. Il s'agit là du plus grand exode depuis le début des opérations pour reprendre Mossoul à Daesh.
L’ONU a exprimé de vives inquiétudes quant à la situation humanitaire, alors qu'elle développe ses camps déjà bondés de réfugiés fuyant la zone.
RT : Des civils de Mossoul racontent aux médias que les snipers et l'appui aérien ciblent Daesh dans des zones résidentielles. Que peut-on faitre pour éviter de faire des victimes parmi les civils dans ces combats ?RT : Des civils de Mossoul racontent aux médias que les snipers et l'appui aérien ciblent Daesh dans des zones résidentielles. Que peut-on faitre pour éviter de faire des victimes parmi les civils dans ces combats ?
С’est toujours les civils qui sont les principales victimes de ce type de combat
Alastair Crooke (A. C.) : Il est toujours difficile d’éviter les pertes civiles. Si vous voulez une réponse franche, il est impossible d’en éviter dans la guerre urbaine. Parce que les insurgés se seront bien sûr infiltrés, ils seront clandestins, ils tendront des pièges. Ils utiliseront souvent la population civile pour dégager des positions. Il y aura certainement des victimes et de nombreux morts. Malheureusement, c’est toujours les civils qui sont les principales victimes de ce type de combat.
RT :  Comment pourrait-on réduire ce risque ? Nous savons qu’une des tactiques les plus efficaces à cet égard est l’utilisation des couloirs humanitaires, pourquoi n’en avons-nous pas vu à Mossoul ?
A. C. : Il y a une manière de le faire, et cette manière a été largement appliquée en Syrie : nettoyer tout d'abord la zone autour de la ville, les bases autour de la ville qui soutiennent les insurgés. On contrôle la zone autour de la ville, lorsque l'on impose le siège, pas contre les civils, mais contre les insurgés, de manière à ce qu'ils n'aient plus de munitions, qu'ils soient épuisés, fatigués, affaiblis. Ensuite, on ouvre les couloirs et on encourage les civils à sortir.
Daesh a creusé une ville sous la ville
Le problème a toujours été que les hommes politiques veulent que les choses soient résolus rapidement, ils ne sont pas disposés à patienter durant un long siège. Ils ne veulent pas attendre. Ils veulent une victoire. Ils veulent une victoire à présenter immédiatement [au public]. A Mossoul, ils étaient supposés atteindre la victoire avant que le président Obama ne quitte son poste. Du coup, tout a été fait à la hâte, de manière à pouvoir avoir une victoire rapide. A ce moment-là ils s'attendaient à ce que Daesh se retire de Mossoul et se dirige à Raqqa, résultat dont les autorités américaines auraient été satisfaites : pousser le problème de Mossoul vers la Syrie. Cela n'a pas eu lieu, et ce sera un combat vraiment difficile.
L’armée irakienne perd beaucoup d’hommes, la Brigade d’or a essuyé de nombreuses pertes. Le problème est que, d'après ce que j'entends, Daesh a de fait creusé une ville sous la ville. Ils n'ont pas seulement quelques tunnels, ils ont une ville sous la ville. Il sera très difficile de l'éliminer.





SOURCE :francais.rt

Un Israélien condamné à 11 ans de prison pour avoir poignardé un Juif qu’il a pris pour un Arabe

S’étant laissé guider par «une voix intérieure» lui disant de «trouver et tuer un Arabe», un Juif israélien a essayé de tuer un autre Juif qu’il a pris pour un Arabe afin de se venger des attaques palestiniennes en Israël.
Le tribunal du district de Haifa a condamné un israélien, Shlomo Haim Pinto, 32 ans, à 11 ans de prison après l'avoir reconnu coupable, en décembre dernier, de tentative d’assassinat à motivation raciste.
Le 13 octobre 2015, armé d’un couteau de cuisine, d’un cutter et d’un marteau l'homme s'était rendu dans un petit magasin de la ville de Kiryat Ata. Comme il l'avait confié plus tard au tribunal, il s’était laissé guider par «une voix intérieure» qui lui avait dit de commettre un «mitzvah», une bonne action effectuée par devoir religieux, selon Haaretz.

Shlomo Haim Pinto espérait qu’il trouverait une victime arabe dans le magasin. Mais il s'en est pris à un autre Juif, Uri Razkan, salarié du magasin qu'il a pris pour un Arabe. Ce dernier a survécu à cette tentative de meurtre.
Selon des documents produit par le tribunal, l’accusé pensait que le meurtre d’un Arabe serait «une grande grâce pour les Juifs et qu’il ferait avancer la rédemption» de la nation auprès de Dieu.
En plus de sa longue peine d’emprisonnement, Pinto doit dédommager sa victime à hauteur de 50 000 shekels (12 800 euros).
Lire aussi : Pris pour un terroriste, un arabe israélien aurait été lynché lors d’une attaque près de Tel Aviv
Cette attaque est intervenue au sommet de la vague d’attaques au couteau effectuées par des Palestiniens contres des juifs et des forces de sécurité israéliennes. Depuis octobre 2015, 252 Palestiniens, 41 Israéliens, deux Américains, un Jordanien, en Erythréen et un Soudanais sont tombées victimes de telles attaques.





SOURCE: francais.rt

samedi 18 février 2017

Football / Encadrement technique : Quel entraineur pour les Eléphants de Côte d’Ivoire !


Les candidats à la succession de Michel Dussuyer à la tête de la sélection des Eléphants de Côte d’Ivoire se signalent déjà. Une esquisse du portrait robot du technicien dont ont besoin les Eléphants de Côte d’Ivoire.

Michel Dussuyer parti, la fédération ivoirienne de football est depuis le 30 janvier dernier en quête d’un nouvel entraineur pour les Eléphants. Un vide qui suscite des intentions de candidatures et fait voyager le président de la fédération ivoirienne de football (FIF), Sidy Diallo dans les capitales européennes.
Après avoir fait défiler douze sélectionneurs à la tête de l’encadrement technique des Eléphants en sept Can (2006, 2008, 2010, 2012, 2013, 2015 et 2017), un record, les dirigeants du football ivoirien repartent sur le marché européen pour s’attacher les services d’un entraineur. Avec quel critère ? De grandes nations comme l’Egypte, sept fois championne d’Afrique des Nations de football ont misé sur l’expérience et le long terme en recrutant le technicien qu’il fallait, Hassan Shehata. Triple vainqueurs de la Can (2006, 2008 et 2010) avec les Pharaons d’Egypte, Shehata est resté entraineur des Pharaons de 2004 à 2011.
Avram Grant n’a passé que deux ans chez les Blacks Stars du Ghana. Toutefois, l’entraineur israélien, anciennement coach de Chelsea (Angleterre) a marqué de son empreinte les Black Stars du Ghana. Milovan Rajevac, l’ex-sélectionneur d’Algérie a fait un passage au Ghana (2008-2010). Sous son coaching, les Black Stars ont échoué en finale de la Can 2010. Hugo Broos, le vainqueur de la Can 2017 avec le Cameroun a été l’entraineur de l’équipe de Belgique (1974-1986).
Avant d’être à la tête des Eléphants de Côte d’Ivoire, Hervé Renard avait une longue expérience du football africain pour avoir été aux côtés de Claude Leroy, dans le staff technique des Black Stars du Ghana puis champion d’Afrique des nations avec les Chipolopolos de la Zambie en 2012. Comme on le voit, les entraineurs qui ont marqué l’histoire de la Can sont pour la pluspart des techniciens qui ont coaché de grands clubs dans le monde ou de grandes nations de football pour certains. Ils ont une connaissance avérée du football africain. Cela a souvent donné des résultats probants. Le choix du nouvel entraineur des Eléphants de Côte d’Ivoire doit prendre en compte l’expérience du technicien, son parcours dans le coaching de grandes équipes et des sélections dans le monde notamment en Afrique.
La rigueur du technicien et son choix des hommes de sorte à créer la concurrence véritable à chaque poste doivent être des critères de son choix. Le ministre des Sports et des Loisirs, François Amichia, ne dit pas autre chose en affirmant qu’en plus d’un entraineur technique, il faut aux Eléphants un entraineur mental. Les champions d’Afrique 2015 n’ont pas régressé.
C’était la même équipe qui a tenu la France en échec en match amical disputé quelques semaines plus tôt avant la Can 2017. Serey Dié et ses coéquipiers n’ont pas perdu leur football mais ont manqué ce dont ils avaient besoin et que les entraineurs de métier apportent à leur groupe en pareille situation. Comme en 2015 où 59 entraineurs (France, Italie, Portugal, Croatie, Pologne, Espagne, Liban, Brésil, Allemagne, Nigeria, Côte d’Ivoire, Belgique, Serbie et Angleterre) avaient manifesté le désir d’être sur le banc de touche des Eléphants de Côte d’Ivoire, ils seront certainement encore nombreux à l’ouverture des candidatures.
Cette fois le choix de la FIF doit être rigoureux et judicieux. Les éliminatoires de la coupe du monde 2018 pointent à l’hobrizon et la Côte d’Ivoire qui est devenu un habitué du mondial n’a pas de raison d’être absent.




SOURCE : lebabi

Union Africaine – CPI : chronique d’un divorce annoncé

Estimant que l’ONU ne prend pas leurs critiques au sérieux, les chefs d’État du continent se sont entendus à huis clos sur une stratégie de retrait de la Cour pénale internationale. Sont-ils vraiment sur le point de claquer la porte ? La réalité est plus complexe…


Alors qu’à La Haye le procès de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, qui a repris le 6 février, s’enlise dans les méandres d’une interminable procédure – seuls 30 témoins, dont les dépositions ont été émaillées d’incidents parfois folkloriques, ont été jusqu’ici entendus sur les 138 réclamés par la procureure Fatou Bensouda –, la Cour pénale internationale (CPI) se retrouve une nouvelle fois sur le banc des accusés.
« L’Afrique décide de quitter la Cour pénale internationale », titrait le site d’information Mediapart au lendemain du dernier sommet de l’Union africaine (UA), à Addis-Abeba. Vraiment ? Si les chefs d’État ont effectivement avalisé, un peu en catimini et sans le faire figurer dans un communiqué final, une « stratégie commune sur le retrait collectif de la CPI » lors d’une réunion à huis clos, le 31 janvier, la réalité est à la fois conforme au côté spectaculaire de cette annonce et infiniment plus complexe.
Double refus
Pour mieux comprendre ce qui apparaît comme un cran de plus dans l’épreuve de force qui oppose la majorité des États membres de l’UA à la Cour de La Haye, il faut remonter au sommet de Kigali, en juillet 2016. Après avoir réitéré leur demande d’une suspension des poursuites engagées depuis 2009 par la CPI contre le Soudanais Omar el-Béchir, les chefs d’État africains se font plus précis.

L'article complet sur Jeuneafrique.com








SOURCE :imatin

Après leur remise en liberté: les journalistes racontent leur calvaire

Six journalistes ivoiriens incarcérés le 12 février à Abidjan ont été inculpés le 14 de « divulgations de fausses nouvelles » et remis en liberté. Récit de leur détention.
« Nous avons écrit qu’il y aurait bien eu un accord secret avec les Forces spéciales pour le paiement d’une prime de 17 millions de francs CFA (25 916 euros) à chaque élément de cette unité d’élite. C’est l’information qui nous vaut des déboires, parce que le gouvernement affirmait le contraire ». Ferdinand Bailly, journaliste au groupe Cyclone à Abidjan (éditeur des quotidiens d’opposition Le Temps et LG Infos) est encore épuisé par une journée marathon mardi 14 février entre les mains de la justice et de la police, qui aurait pu le conduire à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA). Mais il préfère en garder un bon souvenir.
« C’est une expérience qu’il fallait vivre pour comprendre ce qui se passe de l’autre côté », se console M. Bailly, quelque peu amaigri et contraint à un repos de plusieurs jours.
48 heures de ballottage
Arrêté le 12 février avec cinq autres confrères pour « divulgation de fausses informations et incitation à la révolte » après la mutinerie des Forces spéciales ivoiriennes à Adiaké, dans le sud-est du pays, Ferdinand Bailly a été ballotté pendant près de 48 heures entre la Brigade de recherches de la gendarmerie d’Abidjan, le parquet général et le camp de gendarmerie d’Agban, le plus grand du pays, où il a passé deux nuits dans une cellule de 6 m2, sur une grosse natte.
Les éléments des Forces spéciales ivoiriennes s’étaient mutinés au début février pour réclamer des primes. Ils avaient mis fin à leur mouvement deux jours plus tard. Cette unité d’élite est directement engagée dans la sécurité rapprochée du président ivoirien Alassane Ouattara. Début janvier, la Côte d’Ivoire avait été secouée par une mutinerie d’anciens rebelles intégrés dans l’armée, qui avaient paralysé plusieurs villes pour réclamer le paiement de primes. En répondant à leurs revendications par le versement de primes de 8 500 euros par personne, les autorités avaient provoqué la colère de militaires et gendarmes non concernés par cet accord, qui s’étaient à leur tour mutinés. Des affrontements avaient fait quatre morts à Yamoussoukro.
Ferdinand Bailly, traditionnellement adepte des faits divers carcéraux, a vécu pour la première fois les péripéties d’un bandit de grand chemin.
Camion de transport des prisonniers
« Nous n’avions pas l’assistance d’un avocat et c’était inquiétant. C’est seulement à la Brigade de recherches que celui-ci a pu nous rendre visite, le deuxième jour de notre détention. Malheureusement, il n’a pas pu suivre le dossier lorsque nous étions au parquet. A ce moment-là, il y avait une frayeur, parce que nous étions aux portes de la MACA », se souvient M. Bailly.
Un sentiment qu’a également vécu Vamara Coulibaly, directeur de publication du groupe Olympique, éditeur des quotidiens indépendants Soir Info et l’Inter, dont le correspondant dans la région d’Adiaké est à l’origine de l’article incriminé sur le supposé accord conclu entre le gouvernement et les Forces spéciales. « Chaque fois que le procureur posait la question de savoir si le camion de transport des prisonniers (Air MACA) était retourné à la prison et que la réponse était non, nous devenions silencieux. On souhaitait qu’il parte sans nous », raconte M. Coulibaly.
Préoccupés par l’état de santé précaire de leur confrère Mamadou Bamba Franck, directeur de publication du quotidien Notre Voie, les journalistes ont finalement repris confiance grâce à la mobilisation des organisations professionnelles des journalistes et de celle de la société civile, dont des membres étaient rassemblés en grand nombre dans la cour du tribunal d’Abidjan. Plusieurs associations de journalistes, nationales et internationales, avaient protesté contre ces arrestations, déplorant une « atteinte flagrante à la liberté de la presse ». L’ONG Reporters sans frontières (RSF) s’est déclarée mardi 14 février « inquiète » de la détention des six journalistes ivoiriens, et a demandé leur « libération immédiate ».
« En voyant nos amis, nous savions que la justice ne pouvait pas aller plus loin, même après nous avoir présenté nos mandats de dépôt signés du procureur », soutient M. Bailly.
Selon le procureur de la république, Richard Adou, l’arrestation de ces journalistes était liée « aux récents mouvements d’humeur des militaires » au cours desquels, « certains organes de presse ont divulgué de fausses informations de nature à inciter les soldats à la révolte ».
Libérés en fin de journée mardi 14 février, les six journalistes entendent désormais se battre jusqu’à l’abandon définitif des poursuites à leur encontre. Les délits dont ils sont accusés sont « diffusion de fausses informations », « divulgation du secret défense » et « incitation à la révolte ». « On ne peut pas emprisonner la liberté », réagit Yacouba Gbané, du groupe Cyclone. « Nous sommes de retour et le combat continue ».





SOURCE : imatin

Côte d’Ivoire: Les bonnes feuilles du rapport des députés français sur le 1er quinquennat de Ouattara

La commission des Affaires Etrangères du parlement français a rendu ce mercredi 15 février les conclusions des travaux d’une mission d’information constituée le 27 avril 2016 en Côte d’ivoire.
Le rapport dont nous avons pu obtenir une copie est riche de 185 pages. Il dresse un bilan « contrasté » du 1er quinquennat du président Alassane Ouattara. Il parle de la stabilité politique du pays, de la relance économique, de l’intégration sous régionale, de la réconciliation, du contre-pouvoir politique, de la refonte de l’armée, de la question foncière, des relations bilatérales entre la Paris et Abidjan, de la forces de la diaspora ivoirienne ect…
Nous vous proposons quelques lignes tirées du chapitre II/
UNE CROISSANCE AUX PIEDS D’ARGILE : DES DÉFIS CONSIDÉRABLES ET URGENTS À SURMONTER
La Côte d’Ivoire n’a pas encore réussi à faire que ses taux de croissance flatteurs profitent à l’ensemble des Ivoiriens. Ces derniers protestent : « vous faites des ponts, vous faites des routes, mais les Ivoiriens ne mangent pas de béton ».
Cette formule traduit l’impatience grandissante de la population qui s’exprime de plus en plus dans la rue. Elle doit être prise au sérieux. Comme l’observait le sociologue Francis Akindes, ces mécontentements, s’ils n’étaient pas endigués, pourraient être récupérés par des populismes ou des organisations extrémistes, au risque de replonger la Côte d’Ivoire dans la tourmente.
RASSEMBLER LES IVOIRIENS
La mission a pu constater combien la « réconciliation nationale » demeurait d’actualité, six ans après la fin de la crise ivoirienne.
La réconciliation nationale, un processus inachevé
« Il ne faut pas confondre le calme et la paix », faisait observer Charles Konan Banny, ancien Premier ministre de la Côte d’Ivoire et président de la Commission vérité, dialogue et réconciliation, lors de son audition devant la mission d’information.
La thèse d’une « justice des vainqueurs » cristallise les divisions
La question de la justice tend à maintenir ouvertes les plaies de la crise ivoirienne. De nombreux interlocuteurs ont exprimé à la mission leur sentiment d’une « justice des vainqueurs » : pour eux, seuls les responsables du camp de Laurent Gbagbo ont été arrêtés, tandis que ceux du camp présidentiel ne sont pas inquiétés. Sans reprendre ce terme, la représentante spéciale du Secrétaire général de l’ONU en Côte d’Ivoire, Aïchatou Mindaoudou, a parlé d’une « justice à deux vitesses ».
(…) A l’heure actuelle, plus de deux cent personnes du camp de l’ancien Président Gbagbo restent en détention préventive en lien avec des crimes qui auraient été commis lors de la crise post-électorale ; le Premier ministre Kablan Duncan avait évoqué le chiffre de 242 personnes lorsqu’il avait rencontré la mission au mois de septembre.
(…) Le fait que seuls Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé aient été transférés à La Haye accentue la perception que la justice est partiale. D’après les informations recueillies par la mission, la CPI a prévu de séquencer ses poursuites en commençant par le camp Gbagbo. La procureure Fatou Bensouda a indiqué en avril 2015 que son bureau comptait désormais accélérer les enquêtes sur les crimes commis par les forces affiliées au Président Ouattara. Ce dernier a réaffirmé récemment son soutien au travail de la CPI, mais, d’après l’ONG Human Rights Watch, la coopération apportée aux enquêtes concernant les personnes qui appartenaient à son camp ne serait pas particulièrement zélée.






source : connectioivoirienne

Crise dans la filière Cacao en Côte-d’Ivoire: Des producteurs gazés et dispersés par la police

Venus en grand nombre dans les rues du Plateau ce jeudi 16 février 2017, dans le cadre d’un mouvement de protestation des producteurs de cacao ivoiriens ont été dispersés par la Police nationale.
Réunis dans les rues du Plateau ce jeudi 16 février 2017 à l’appel du Syndicat national agricole pour le progrès en Côte d’Ivoire (SYNAP-CI) et de la Coordination nationale des planteurs de Côte d’Ivoire (CNPCI), structures dirigées par Koné Moussa et Bilé Bilé, des producteurs de cacao ont tenté de manifester.
Mécontents de la situation dans la filière et du Conseil café-Cacao (CCC), ces agriculteurs avaient pour objectif de se rendre au siège de la structure pour protester disent-ils contre le « blocage lié à la commercialisation du cacao au cours de la campagne 2016-2017 ». Cependant, leur projet a tourné court avec l’intervention des forces de Police qui ont usé de gaz lacrymogènes pour disperser les manifestants.
« Le Conseil du café-cacao (Ccc) vient de déclarer la guerre aux planteurs. Nous allons porter plainte contre le Ccc. La lutte ne fait que commencer. Je lance un appel à tous les producteurs, à toutes nos coordinations à l’intérieur du pays pour bloquer les activités du Ccc jusqu’à ce que notre cacao stocké dans nos magasins, dans les camions et dans les ports soit payé et que tous les planteurs soient effectivement payés », a fait savoir Koné Moussa qui a revendiqué près de 700 producteurs présents à cette manifestation.
Pour rappel, un préavis de grève a été déposé devant le ministère de l’Agriculture par les différentes organisations de producteurs.





SOURCE : connectionivoirienne

Les Etats-Unis s’assureront que l’Iran n’obtienne jamais la bombe nucléaire, selon Mike Pence

Dans son intervention à la Conférence de Munich sur la sécurité, le vice-président américain Mike Pence a déclaré que l’allégement des sanctions sur le programme nucléaire iranien avait donné à Téhéran plus de libertés pour menacer la région.
«Sous l’administration Trump, les Etats-Unis resteront pleinement engagés pour s’assurer que l’Iran n’obtienne jamais l’arme nucléaire et ainsi menacer nos pays, nos alliés dans la région et surtout Israël», a déclaré Mike Pence en marge de la 53e Conférence de Munich sur la sécurité.
Le vice-président américain a qualifié l’Iran de «principal sponsor du terrorisme» et a critiqué l’accord sur le programme nucléaire iranien conclu en juillet 2015 entre l’Iran et six autres pays (la Russie, les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne, l’Allemagne et la Chine). Selon lui, cet accord a laissé Téhéran «déstabiliser le Moyen-Orient».

«L’Europe doit faire plus en matière de Défense»

En évoquant le sujet de la Défense et l’effort que chacun des pays membres doit consentir au financement de l’OTAN, Mike Pence a noté que les pays européens «échouaient à payer une part équitable», ce qui sape «les fondements même» de l’alliance. «Le temps est venu de faire plus», a-t-il déclaré sans détour.
Lire aussi : Merkel : Moscou et l’Occident ont un intérêt commun dans la lutte contre le terrorisme
Mike Pence a malgré tout souligné que les Etats-Unis resteraient toujours «le plus grand allié de l’Europe» et que Washington soutenait «fermement» l’OTAN.

Moscou responsable de la crise ukrainienne, selon Washington

«Les Etats-Unis continueront de tenir la Russie pour responsable [pour le conflit dans l’Est de l’Ukraine], même si nous cherchons un nouveau terrain d’entente», a soutenu le vice-président, en ajoutant que Donald Trump estimait que ce terrain d’entente pourrait être trouvé.





SOURCE : francais.rt

Syrie : Daesh encerclé et bombardé par des avions russes dans la région de Raqqa

Mis sous pression par les raids aériens russes et encerclés dans leur fief syrien de Raqqa, des leaders djihadistes de l'Etat islamique seraient en train de fuir devant l'avancée d'une alliance militaire arabo-kurde.
«Le 17 février 2017, des bombardiers stratégiques Tu-95 ont effectué un vol opérationnel depuis la Russie, survolant l'Iran et l'Irak, et ont mené une attaque aérienne avec des missiles de croisière de type Kh-101 [...] contre l'Etat islamique dans la région de Raqqa», a annoncé le ministère russe dela Défense dans un communiqué, paru le 17 février.
Auteur: Ruptly
Moscou a également précisé que le raid aérien avait permis de détruire des camps djihadistes d'entraînement, ainsi qu'un centre de commandement de l'Etat islamique. Le ministère russe des Affaires étrangères a par ailleurs indiqué avoir prévenu au préalable les Américains de ce bombardement, ce que Washington a confirmé.
En outre, le ministère russe de la Défense a diffusé le 17 février une vidéo dans laquelle on voit ces bombardiers lourds Tu-95 frapper les positions de Daesh dans la région de Raqqa.

L'étau se resserre sur Daesh

«Nous commençons à voir que beaucoup de hauts dirigeants de l'Etat islamique, beaucoup de leurs cadres, commencent à quitter Raqqa», a indiqué le 17 février le capitaine de vaisseau Jeff Davis, porte-parole du Pentagone.
«Ils ont de toute évidence pris en compte le fait que leur fin était proche à Raqqa», a-t-il ajouté, évoquant un retrait «très organisé, très ordonné». Pour le porte-parole du Pentagone, l'objectif d'encerclement de la «capitale» syrienne de Daesh par les Forces démocratiques syriennes (FDS), une alliance arabo-kurde, est désormais presque atteint.
Toujours selon l'armée américaine, les routes vers le nord ou l'ouest de la «capitale» syrienne de Daesh sont dorénavant bloquées par les FDS et, vers le sud, par la destruction des ponts sur l'Euphrate. Les djihadistes de Daesh ne disposeraient ainsi que d'une seule voie de communication vers l'extérieur, au sud-est de Raqqa et qui relierait ce bastion de l'Etat islamique à la ville de Deir ez-Zor.
L’opération de libération de Raqqa «Colère de l’Euphrate» a débuté le 6 novembre 2016. Elle est menée par les Forces démocratiques syriennes, avec le soutien aérien des Etats-Unis. Selon les FDS, au cours des premiers jours de l’opération, plus de 60 agglomérations et 550 kilomètres carrés ont été repris à Daesh.
Cependant, l'offensive arabo-kurde pourrait se retrouver concurrencée à terme par la Turquie, qui a également lancé fin août 2016 l'opération militaire «Bouclier de l'Euphrate» dans le nord de la Syrie. Ankara mène cette offensive non seulement contre Daesh, mais également contre les milices kurdes appartenant aux FDS.





SOURCE :francais.rt

vendredi 17 février 2017

Un projet de loi sur le déploiement de missiles nucléaires en Europe proposé au Congrès américain


Suite aux informations sur le déploiement présumé de missiles de croisière par la Russie publiées dans le New York Times, des sénateurs américains entendent contrer «l’agression russe» en déployant des missiles à capacité nucléaire en Europe.
Les Etats-Unis devraient déployer des missiles nucléaires à courte et moyenne portée en Europe, prévoit le nouveau projet de loi proposé au Congrès par un groupe de sénateurs dirigé par le Républicain Tom Cotton, d'après le New York Times. Cette proposition intervient après des accusations de violations par la Russie du Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire de 1988, visant le démantèlement par Washington et Moscou de leurs missiles à charge nucléaire.
Parmi les mesures proposées par les sénateurs, figurent l’augmentation des dépenses de défense contre les missiles de ce type, le déploiement de systèmes américains à moyenne portée, la livraison de ces missiles aux alliés des Etats-Unis en Europe et la suspension de l'accord New Start sur la réduction des armes nucléaires entre Moscou et Washington. Le résumé du projet de loi peut être consulté sur le site personnel du sénateur Tom Cotton.

jeudi 16 février 2017

La Haute Cour de justice du Burkina annonce des poursuites contre Blaise Compaoré exilé en Côte-d’Ivoire

La Haute cour de justice burkinabè procédera bientôt à l’ouverture du procès sur le dossier de l’insurrection populaire d’octobre 2014. L’ancien président Blaise Compaoré est poursuivi. N’ayant pas répondu aux convocations, il sera jugé en son absence, annonce le parquet.
«La Haute Cour de Justice va statuer dans les semaines à venir sur le dossier de l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2014″, informe le Parquet général près la Haute Cour de Justice dans un communiqué parvenu à Burkina24, sans préciser de date exacte.
34 personnes sont poursuivies dans le « cadre de la répression sanglante des manifestants » les 30 et 31 octobre 2014. Il s’agit des membres du dernier gouvernement de l’ancien président Blaise Compaoré.
Cependant, 7 n’ont pas répondu aux convocations. Il s’agit de Kaboré Lamoussa Salif, ancien ministre des mines, Bembamba Marie Lucien de l’économie, l’ancienne ministre de l’éducation nationale Barry/Boly Koumba, l’ancien ministre chargé de missions Kouanda Assimi, Ouédraogo Salif ancien ministre de l’environnement et Ouédraogo Tinga Jérémy, ancien ministre des ressources animales.
La septième personne est Blaise Compaoré, en exil en Côte-d’Ivoire depuis le lendemain de l’insurrection populaire d’octobre 2014. A noter que ce dernier n’est pas poursuivi dans ce dossier en tant que Président du Faso, mais plutôt en tant que ministre de la défense à l’époque des faits. Le parquet avait annoncé qu’il ne serait pas poursuivi pour haute trahison et attentat à la Constitution parce que ces infractions n’ont pas été clairement définies par les textes.
Le parquet a indiqué que les sept absents «seront jugés en leur absence ».
Pour rappel, le 16 juillet 2015, tous les membres du gouvernement présents au Conseil des ministres du 21 octobre 2014 ayant adopté le projet de loi portant modification de la Constitution en son article limitant les mandats présidentiels, ont été mis en accusation devant la Haute cour de justice par le Conseil national de la transition pour « faits de coups et blessures volontaires, complicité de coups et blessures, assassinats et complicité d’assassinat ».





SOURCE : connectioivoirienne

Côte d'Ivoire: grève des producteurs de cacao


Les producteurs de cacao de Côte d'Ivoire ont déclenché un mouvement de grève pour protester contre le non respect des contrats signés avec les exportateurs de cacao qui devaient acheter jusqu'à 80% de la récolte de cette année.

Des centaines de milliers de fèves de cacao sont en train de pourrir dans les ports de San Pedro et d'Abidjan.
Cette situation est en partie causée par une baisse des prix internationaux du cacao et une hausse du prix local.
La Côte d'Ivoire est le plus grand pays exportateur de cacao au monde et six millions de personnes vivent du cacao dans le pays.
Selon les estimations, un tiers des exportations annuelles sont dans les ports du pays et les agriculteurs sont sans argent.
Les agriculteurs demandent au gouvernement d'utiliser leurs fonds d'urgence sur le cacao pour combler leurs écarts de revenus.




SOURCE : le babi

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mercredi 15 février 2017

Netanyahu reçu par Trump: une paix à 2 Etats et l’Iran au menu de la rencontre

Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a rendez-vous avec Donald Trump ce mercredi 15 février à Washington. Ce sera la première rencontre entre les deux hommes depuis l’arrivée à la Maison Blanche du nouveau président américain. Un rendez-vous précédé d’une déclaration d’un responsable américain prenant ses distances avec la solution de paix à deux Etats.
« La paix est l'objectif, que cela soit sous la forme d'une solution à deux Etats, si c'est ce que les parties veulent. Ou quelque chose d'autre si les parties le veulent. » Voici ce qu’a déclaré un responsable de la Maison Blanche, sous couvert d’anonymat à quelques heures de la rencontre Trump-Netanyahu.
S’agit-il d’une rupture avec la politique menée jusque-là par les Etats-Unis dans la région ? Ou d’une nouvelle déclaration vouée à être rectifiée, tout comme le fut la promesse de déménager à Jérusalem l’ambassade américaine en Israël ou la phrase de Donald Trump favorable à la colonisation ? A propos de l’ambassade, le président américain explique désormais que les choses ne sont pas « si faciles ». Marche-arrière aussi sur la colonisation : leur expansion n’est pas « bonne pour la paix », a récemment nuancé Donald Trump.
La rencontre de ce mercredi entre le président américain et le Premier ministre israélien permettra peut-être d’y voir enfin clair sur la position américaine dans le conflit israélo-palestinien. Rappelons que depuis le Processus d’Oslo lancé en 1993 - sous parrainage américain -, l’idée de deux Etats pour deux peuples (israélien et palestinien) est la base de tous les efforts diplomatiques. Un processus plongé dans le coma en l’absence de négociations depuis des années, mais un processus jusque-là porté à bout de bras par la plupart des Etats et organisations internationales.
Droite nationaliste-religieuse
Benyamin Netanyahu, arrivé au pouvoir en 2009, a aussitôt accepté le principe des deux Etats dans un discours-référence prononcé à l’Université israélienne de Bar-Ilan. Mais le Premier ministre israélien est aujourd’hui à la tête du gouvernement le plus à droite de l’histoire de son pays, une coalition au sein de laquelle le camp nationaliste religieux se sent pousser des ailes depuis la victoire de Donald Trump. Au sein du Foyer juif de Naftali Bennett comme au sein du propre parti de Netanyahu, le Likoud, la droite nationaliste religieuse demande notamment l’annexion de tout ou partie de la Cisjordanie occupée par Israël et ne veut pas entendre parler d’Etat palestinien.
Cette rencontre avec Donald Trump, « ce sera un véritable test pour Netanyahu, affaibli par les affaires et – politiquement – par sa propre aile droite qui ne cesse de le mettre en difficulté », explique Emmanuel Navon, professeur de Sciences politiques à l’Université de Tel Aviv et ancien membre du Likoud. « Jusqu’à présent, face à sa coalition, Netanyahou utilisait toujours Obama comme ultime excuse pour ne pas construire plus d’implantations et maintenant ce prétexte n’est plus là », ajoute Emmanuel Navon pour qui il reste peu probable de voir voler en éclats l’actuelle coalition.
La question iranienne
L’Iran sera l’autre grand dossier de ce rencontre Trump-Netanyahu. Le gouvernement israélien a beaucoup critiqué l’accord sur le nucléaire iranien, voulu par Barack Obama et signé en 2015. Accord que Donald Trump a lui aussi fustigé, souhaitant le renégocier avant, là encore, d’atténuer sa position. « Il y a aussi la volonté de Donald Trump de se rapprocher de Vladimir Poutine et de faire un " deal " avec la Russie qui est très liée à l’Iran et à l’accord nucléaire », rappelle Samuel Ghiles-Meilhac qui enseigne à Sciences-Po. « Comment est-ce que Donald Trump pourra à la fois avoir une politique plus agressive vis-à-vis de l’Iran et une politique plus proche de la Russie ? », s’interroge le chercheur, pour qui il n’est pas sûr que dans « l’esprit de Donald Trump, Israël compte beaucoup dans cette réflexion-là ».







SOURCE : rfi

Football: Le PSG inflige une raclée historique et rarissime au FC Barcelone 4-0

Barça, qu’est-ce qui n’a pas marché ?
Le PSG, en une soirée de rêvée , a infligé une raclée historique FC Barcelone des Messi, Suarez etc. Les Catalans ont pris la tête dans le sac, et seul leur coach Luis Enrique avance un début d’analyse.
Luis Enrique a la réponse. Et comme il le dit, « l’explication est simple »: « Nos adversaires étaient supérieurs, ils ont gagné la majorité des duels et ont été efficaces », résume le coach du Barça en conférence de presse (relayée sur le site du FC Barcelone). Le score reflète ce qu’il s’est passé sur le terrain. « Des attaquants absents au pressing et dans la mobilité, Lionel Messi qui baisse les bras, des milieux dépassés, des défenseurs complètement abandonnés face à leurs propres limites…
90 minutes de folie
A l’image de Di Maria sur un coup franc parfaitement enroulé (1-0, 18e) pour matérialiser un départ tonitruant. Bousculé comme rarement dans la relance, le Barça faisait bien frissonner le public sur un contre éclair stoppé par Trapp devant André Gomes (27e). Avant de subir à nouveau les assauts de locaux affamés. Déjà impérial devant Matuidi et Rabiot (11e), Ter Stegen frustrait Draxler d’une main ferme (34e). Mais devait mettre un genou à terre sur une frappe sèche de son compatriote quelques minutes plus tard (2-0, 40e), suite à une énième récupération haute de Rabiot.
Les Parisiens creusaient l’écart sur un amour de frappe enveloppé signée Di Maria (3-0, 55e). La folie ambiante contrastait alors avec des Barcelonais hagards, prostrés, incrédules et dans l’incapacité de sortir la tête de l’eau. Cavani les enfonçait même un peu plus en reprenant sans contrôle une offrande de Meunier (4-0, 71e). Sa course de plus de 90 mètres pour fêter cette réalisation était alors le résumé parfait de cette soirée: complètement de folie !







SOURCE : CONNECTIONIVOIRIENNE

Libération de nos confrères en Côte-d’Ivoire: L’association de la Presse étrangère reste préoccupée (apeci)

Liberation de nos confrères declaration apeci
DECLARATION DE L’ASSOCIATION DE LA PRESSE ETRANGERE
EN COTE D’IVOIRE
– Coulibaly Vamara, directeur de publication de ‘’Soir Info’’ et de ‘’L’Inter ‘’
– Yacouba Gbané, directeur de publication de ‘’Le Temps’’ et ‘’LG Infos’’
– Bamba Franck Mamadou, directeur de publication de ‘’Notre Voie’’
– Hamadou Ziao, rédacteur en chef de ‘’L’Inter’’ – Ferdinand Bailly, journaliste à ‘’Le Temps’’ et Jean Bédel Gnago, correspondant de ‘’Soir Info’’ à Aboisso, convoqués le 12 février 2017 par la brigade de recherche de la gendarmerie au motif qu’ils ont publié des informations relatives à un accord signé entre l’État de Côte d’Ivoire et l’unité des Forces spéciales qui s’était mutinée le mardi 7 février 2017.
L’Association de la Presse Etrangère en Côte d’Ivoire (APE CI), salue la mise en liberté provisoire de ses journalistes.
Toutefois, L’APE-CI reste préoccupée par la situation des conditions d’exercice du métier de journaliste en Côte d’Ivoire, car les confrères demeurent toujours poursuivis par la Justice.
L’APE-CI demande l’abandon des poursuites engagées contre nos confrères.
Fait à Abidjan le 12 Février 2017
La Présidente
M’ma Camara

















SOURCE :connectionivoirienne