mercredi 24 mai 2017

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Le Procureur Général de Bouaké en Côte-d’Ivoire réclame aux civils « les armes prises chez Soul To Soul »

Communiqué du Procureur Général près la cour d’Appel de Bouaké qui après celui de son collègue adressé aux militaires, s’adresse aux civils ( ex-combattants ou autres ) , qui détiendraient illégalement des armes.
A l’occasion de la mutinerie survenue du 12 au 16 mai 2017, des personnes ont emporté des armes de guerre, qui étaient entreposées dans une villa appartenant à Monsieur KAMARATE Souleymane et servant de lieu d’habitation à la mère de celui-ci.
Le Procureur Général rappelle que la détention et l’entreposage d’armes de première catégorie sont constitutifs d’infractions pénales, prévues et punies par les articles 3, 5, 13 et 14 de la loi n°98-749 du 23 décembre 1998 portant répression des infractions à la règlementation sur certaines munitions et substances explosives et le décret n°99-183 du 24 février 1999 portant règlementation des armes et munitions.
Toute personne, détenant ou ayant entreposé, ces armes s’expose à des peines d’emprisonnement allant de 10 à 20 ans et à une amende de 5 000 000 à 10 000 000 de francs.
Le Procureur Général invite, en conséquence, les personnes qui détiennent illégalement des armes à les déposer au plus tard le 31 mai 2017, délai de rigueur, auprès du Préfet de Région.





SOURCE : connectionivoirienne

A la Une : encore un mouvement de colère en Côte d’Ivoire

Après les soldats issus de l’ex-rébellion, ce sont maintenant les soldats démobilisés de l’ex-rébellion qui réclament une part du gâteau… D’après le site d’information, Connection Ivoirienne, « au moins cinq de ces ex-combattants ont été tués hier par les forces de l’ordre à Bouaké. Les forces de l’ordre qui ont dispersé par des tirs les ex-combattants démobilisés qui bloquaient depuis lundi l’entrée de la ville. »
Un des manifestants, interrogé par le site ivoirien Lepointsur, raconte : « ils ont commencé à nous lancer des gaz lacrymogènes pour nous disperser. Quelques temps après, nous sommes revenus sur notre position. Et c’est à cet instant-là, qu’ils ont à nouveau ouvert le feu. Certains parmi eux, ont même lancé des grenades. Nos camarades ont voulu riposter en récupérant une grenade. Mais la grenade a explosé dans leurs mains faisant des victimes, notamment des morts. »
Rappelons que ces démobilisés, d’anciens rebelles non réintégrés à l’armée, réclament à leur tour des primes. Environ 6 000 d’entre eux, selon leur propre décompte, exigent chacun 18 millions de FCFA.
Dilatoire ?
« Ca ne finira donc jamais ? », s’alarme le site d’information Wakat Séra au Burkina. « Alors que le président Ouattara croyait en avoir fini avec les anciens démons de la rébellion, ce sont les démobilisés, qui avaient perçu moins d’un million de francs CFA chacun et reçu une formation à un métier, qui ont essayé de se faire entendre. Persuadés que les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets, et qu’ils pouvaient obtenir, sans coup férir, les 18 millions pour chacun, les manifestants ont également pris en otage le quotidien de leurs concitoyens. Mais mal leur en a pris. Ils ont été assez rapidement et sans ménagements, contraints par les forces de l’ordre, d’abandonner leurs rêves de millionnaires. »
« Ça se complique pour ADO », pointe également Le Pays. « Franchement, la Côte d’Ivoire a mal à son armée, soupire le journal. Et comme pour ne rien arranger, les autorités ivoiriennes, plutôt que d’apporter une thérapie de choc au mal, préfèrent faire dans le dilatoire en résolvant au cas par cas les problèmes. Et à l’allure où vont les choses, la Côte d’Ivoire (touchons du bois) n’est pas à l’abri d’une nouvelle rébellion, surtout que se profile déjà à l’horizon la présidentielle de 2020 qui cristallise toutes les attentions. »
Réforme de l’armée ?
« Tout semble " gnagami " (" mélangé ", " gâté " en langue Dioula), renchérit Aujourd’hui. Aux démobilisés, le gouvernement semble opposer la manière forte, avec en sous-main des promesses moins concrètes : des projets d’emploi et des forces de l’ordre en face. Peut-être que cela va briser la chaîne. Si le gouvernement ne donne pas d’argent aux démobilisés, peut-être que les autres militaires en fonction ne vont pas grogner et que les fonctionnaires ne se feront pas non plus entendre. »
En tout cas, poursuis Aujourd’hui, « il faut essayer d’avoir une lecture froide et trouver une solution définitive à ces problèmes récurrents. Une réforme de l’armée ? Pourquoi pas ? Le pays ne peut continuer à fonctionner ainsi. La sécurité est aujourd’hui un ingrédient primordial au développement d’un pays. Si elle penche de côté, la Côte d’Ivoire risque de sombrer. Et c’est certainement un tel héritage que ne veut pas léguer Alassane Ouattara à la postérité. »
Fissures ?
En fait, souligne Ledjely.com en Guinée, « un pays qui, comme la Côte d’Ivoire, sort d’une lancinante crise d’au moins une dizaine d’années n’a pas à se contenter de la paix comme un gadget. Le retour effectif à l’ordre et à la quiétude nécessite un travail qui n’est ni superficiel, ni hâtif. Des aspects que les nouvelles autorités en Côte d’Ivoire ne semblent pas avoir suffisamment pris en compte, estime le site guinéen. La capture de Laurent Gbagbo actée et son transfèrement à la Haye effectif, ADO et la communauté internationale, estimant que la mission était accomplie, se sont frotté les mains. Du lourd passif que le pays trainait, on s’est très peu occupé. Dans le contexte de l’euphorie d’une victoire arrachée de haute lutte, on a décidé de l’intégration d’une bonne partie des rebelles, artisans de la victoire, dans l’armée régulière. Face à l’opposition ainsi décapitée par l’absence de Laurent Gbagbo, le pouvoir, porté par des indicateurs économiques exponentiels, n’a surtout pas fait dans l’humilité. Avec le temps, la réalité reprend le dessus, soupire Ledjely.com. Les bases étant aussi peu solides, l’édifice commence à se fissurer. Et si rien n’est fait, le géant aux pieds d’argile qu’est la Côte d’Ivoire, est parti pour s’écrouler. »




SOURCE :rfi

Estonie : des soldats français s'entraînent dans le cadre d'exercices de l'OTAN à la frontière russe

Plus de 300 soldats français ont effectué leurs premières manœuvres en Estonie le 23 mai dans le cadre du renforcement de la présence militaire de l'OTAN aux frontières russes. Moscou s’inquiète de ce qui constitue «une première depuis 1812».
Pour la première fois, des troupes françaises s'entraînaient sur le territoire estonien dans le cadre des exercices «Spring Storm» organisés par l'OTAN le 23 mai. Plus de 300 soldats français, notamment soutenus par des chars Leclerc, ont donc participé à des manœuvres dans un terrain boisé près de Tapa, dans le nord de l'Estonie, à quelques kilomètres de la frontière russe.
Détaché sur place le 20 mars dernier, le contingent français constitue aujourd'hui la composante la plus importante ce bataillon international de l'OTAN sous commandement britannique en Estonie. Ce déploiement s'inscrit dans le cadre du renforcement du flanc oriental de l'Alliance atlantique face à la supposée menace russe, décidé lors du sommet de Varsovie en juillet 2016.
L'armée française considère la «menace russe» comme suffisamment crédible pour justifier un tel déploiement militaire. «Au regard des événements de ces dernières années, il me semble normal que les pays baltes puissent ressentir une certaine inquiétude vis-à-vis de leur voisin», explique ainsi à l'AFP un lieutenant-colonel sous anonymat. Néanmoins, celui-ci concède : «A l'heure actuelle, c'est plus un jeu de communication.»
Outre l'Estonie, la Pologne, la Lituanie et la Lettonie sont également le théâtre d'un renforcement de la présence de l'OTAN depuis le début l'été 2016. Après une période d'entraînement de quatre mois, les soldats français déployés en Estonie se déplaceront en Lituanie voisine, où ils intégreront un autre bataillon de l'OTAN, sous commandement allemand. On ignore pour l'instant si l'intensification de la présence militaire de l'OTAN aux frontières russes est appelée à se poursuivre et dans quelle mesure.
L'ambassadeur de Russie en France Alexandre Orlov a noté le 19 mai dernier que les troupes terrestres françaises étaient présentes aux frontières de la Russie «pour la première fois depuis 1812», année de la campagne napoléonienne contre la Russie. Cette dernière a critiqué à nombreuses reprises ce renforcement de la présence de l’OTAN à ses portes, qu’elle qualifie de menace pour sa sécurité nationale. En février dernier, notamment, le vice-ministre russe des Affaires étrangères Alexeï Mechkov avait estimé que les mesures prises par l'Alliance constituaient «une menace pour la Russie».
Lire aussi : L'ONU s'inquiète d'une menace de guerre nucléaire «au plus haut depuis la guerre froide»






SOURCE :francais.rt

vendredi 5 mai 2017

L'armée russe affirme avoir cessé de bombarder les «zones de désescalade» en Syrie dès le 1er mai

L'armée russe a annoncé avoir totalement cessé ses bombardements depuis le 1er mai là où se trouvent les futures «zones de désescalade», qui doivent être instaurées d'ici début juin 2017, dans plusieurs régions de Syrie.
«Depuis le 1er mai à minuit, l'aviation de l'armée russe a cessé d'opérer dans les zones de désescalade définies par le mémorandum», signé le 4 mai 2017 par la Russie, l'Iran et la Turquie à Astana, a précisé le général Sergueï Roudskoï de l'état-major russe lors d'une conférence de presse. Ce dernier a précisé que «dans les zones de désescalade, les forces gouvernementales et les groupes armés de l'opposition qui sont partie prenante ou qui rejoindront le cessez-le-feu initié par la Russie et la Turquie le 30 décembre 2016, devront cesser d'utiliser tout type d'armes y compris l'aviation».

Calendrier précis

Selon le plan signé à Astana, ces zones seront instaurées dans huit provinces syriennes où se trouvent des djihadistes luttant contre Damas. Dans deux semaines, soit le 18 mai 2017, sera formé un «groupe de travail commun». Celui-ci établira avant le 4 juin, les cartes de ces zones, ainsi que des «zones de sécurité» attenantes.
Dans le même temps, les garants du plan d'Astana devraient distinguer les groupes armés de l'opposition des groupes terroristes qui sont, selon le document : Daesh, le Fateh al-Cham (anciennement Front al-Nosra, ex-branche syrienne d'al-Qaïda), ainsi que tous les groupes, entités et individus qui leur sont affiliés.
La province d'Idleb (Nord-Ouest de la Syrie), contrôlée par une coalition de «rebelles» islamistes et de djihadistes (dont le Fateh al-Cham), sera également concernée.

Les Occidentaux spectateurs

Les avions de la coalition internationale menée par les Etats-Unis ne pourront pas opérer dans ces zones, avait précisé un peu plus tôt un haut diplomate russe. Et d'ajouter : «Dans ces zones l'accès humanitaire devra être assuré, ainsi que l'acheminement de l'aide médicale, la remise en état des infrastructures, notamment l'eau et l’électricité. Le retour volontaire des réfugiés et des déplacés devra être facilité.»
Bien que le négociateur russe Alexandre Lavrentiev ait rappelé que Moscou était prêt à reprendre sa collaboration militaire avec les Etats-Unis, Washington, ainsi que la coalition occidentale, reste pour l'heure à l'écart du processus de pacification. «Les Américains continuent d'ignorer nos efforts», a ainsi déploré le diplomate russe. La veille, Vladimir Poutine et Donald Trump s’étaient entretenus par téléphone. Et convenus de la nécessité d'une plus grande coopération. D'après la Maison Blanche, les deux présidents avaient également évoqué la mise en place de ces zones de désescalade en Syrie.
Lire aussi : Astana : signature d’un mémorandum sur la création des zones de «désescalade» en Syrie

Macron renonce à exiger de ses candidats qu'ils quittent leur parti pour les législatives

S'il devient président, les candidats investis sous l'étiquette «majorité présidentielle» n'auront pas forcément à quitter leur parti d'origine, a expliqué Emmanuel Macron le 5 mai, revenant sur ce qui était jusque-là une exigence.
Interrogé le 5 mai sur RTL sur le fait de savoir si les membres du Parti socialiste (PS) qui souhaiteraient soutenir une éventuelle future majorité Macron devraient «quitter le PS et déchirer leur carte», Emmanuel Macron a répondu par la négative.
«Je ne demande à personne de déchirer sa carte, parce qu'à titre personnel, les gens peuvent toujours garder des engagements», a-t-il dit. En revanche, il a maintenu l'exigence principale : «Ils devront s'inscrire aux législatives sous la majorité présidentielle.»
A propos de l'ancien Premier ministre Manuel Valls, député socialiste sortant de l'Essonne, le leader d'En Marche! a toutefois exprimé la précision suivante : «S'il se présente sous l'étiquette du PS, il aura face à lui un candidat de la majorité présidentielle.» «Vous avez compris la nuance que j'ai faite : j'ai dit : "s'il est candidat sous l'étiquette parti socialiste"», a-t-il souligné.
«Vous pouvez tout à fait avoir une adhésion personnelle à un parti, à une sensibilité, mais il faut vous inscrire dans une majorité claire, il y a une majorité présidentielle. Ni LR [Les Républicains] ni le PS ne sont dans cette majorité présidentielle», a poursuivi Emmanuel Macron.
Jusqu'à présent, le position du prétendant à l'Elysée, précisée le 2 mai encore, était qu'il fallait que les candidats socialistes aux législatives soutenant son mouvement, En Marche!, soient prêts à quitter le PS.
Lire aussi : Macron a déjà choisi son Premier ministre «dans sa tête»




source : francais.rt