vendredi 30 décembre 2016
RELOGION PAROLE DU JOUR
Bonjour koffi,
|
|
|
|
|
|
mardi 27 décembre 2016
Résolution de l'ONU : Israël menace Obama et «réduit» ses relations avec 12 pays
Entre menaces directes envers le
président Obama et sanctions contre 12 pays ayant voté l'adoption de la
résolution anti-colonisation de l'ONU, la diplomatie israélienne passe à
l'offensive .
Des proches de Benjamin
Netanyahou ont affirmé que les Israéliens étaient prêts à donner à
Donald Trump les preuves que l'administration Obama était derrière la
résolution anti-colonisation de l'ONU portée par l'Egypte, malgré les
fermes démentis des Etats-Unis après les accusations portées par le
Premier ministre israélien.«Nous avons des informations solides provenant du monde arabe que ceci était une poussée délibérée des Etats-Unis et que, en réalité, ils ont même aidé à créer la résolution», a déclaré David Keyes, un porte-parole du Netanyahou, lors d'un entretien avec Fox News.
Quelques heures plus tard, l'ambassadeur israélien aux Etats-Unis Ron Dermer a enfoncé le clou. «Nous montrerons ces preuves à la nouvelle administration [de Donald Trump] en ayant recours aux canaux appropriés. S'ils veulent les partager avec le peuple américain, libre à eux», a-t-il déclaré à CNN.
Le 26 décembre, le président élu avait vertement critiqué l'ONU. «Les Nations unies avaient un grand potentiel mais dorénavant ce n'est qu'un club qui ne sert qu'à réunir les gens, parler et passer du bon temps. C'est tellement triste !», a-t-il déclaré sur Twitter.
Les menaces publiques israéliennes visant le président en exercice d'un pays allié semblent sans précédent.
Lire aussi : Etats-Unis et colonies israéliennes en Palestine : une «réprimande» à l'égard de Netanyahou
Israël «temporairement réduit» ses relations diplomatiques avec la France et onze autres pays
Selon la journaliste américaine Elise Labott citant des sources anonymes, l'Etat juif aurait décidé de sanctionner les pays qui ont voté la résolution anti-colonisation de l'ONU en suspendant tout contact diplomatique avec eux.Lire aussi : «La France n'est pas votre pays» : Lieberman appelle les Français juifs à partir en Israël
Les ministres des Affaires étrangères et ambassadeurs de la France, de la Russie, du Royaume-Uni, de la Chine, du Japon, de l'Ukraine, de l'Angola, de l'Egypte, de l'Uruguay, de l'Espagne, du Sénégal et de la Nouvelle-Zélande ne seraient plus reçus par la diplomatie israélienne ou le Premier ministre israélien tant que ces sanctions seront en place.
Mais, réfutant ces informations, le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères Emmanuel Nahshon a déclaré qu'Israël avait «temporairement réduit» visites et travaux avec des ambassades.
«Jusqu'à nouvel ordre, nous limiterons nos contacts avec les ambassades en Israël et éviterons les déplacements de responsables israéliens dans ces pays et la venue de leurs responsables ici», a-t-il affirmé à l'AFP.
En représailles, Israël a déjà rappelé ses ambassadeurs en Nouvelle-Zélande et au Sénégal et annulé son programme d'aide dans ce pays d'Afrique de l'ouest.
Le 27 décembre, l'Etat juif a également informé l'Angola du gel de son programme d'aide.
Le texte de l'ONU exhorte Israël à «cesser immédiatement et complètement toute activité de colonisation en territoire palestinien occupé, dont Jérusalem-Est» et qualifie les colonies israéliennes de «violation flagrante» du droit international.
Le Conseil de sécurité des Nations unies n'avait pas adopté de résolution concernant les colonies israéliennes en territoires palestiniens depuis 36 ans. Les membres ont spontanément applaudi la résolution, votée par 14 nations, avec une seule abstention : les Etats-Unis.
SOURCE : francais.rt
Turquie: ouverture du premier procès des putschistes présumés
Le premier procès à Istanbul de participants
présumés au coup d'Etat manqué du 15 juillet s'est ouvert, mardi 27
décembre. Une trentaine de policiers comparaissent pour avoir refusé de
défendre le président Recep Tayyip Erdogan.
Il
s'agit du procès le plus important à ce jour depuis le coup d'Etat
manqué, même si d'autres procès ont déjà commencé dans plusieurs villes
de Turquie, où 41 000 personnes ont été arrêtées depuis le 15 juillet.
Les 29 accusés
sont jugés dans la plus grande salle d'audience du pays, dans un
bâtiment situé en face de la prison de Silivri, à la lisière de la
métropole turque.
Les premières audiences doivent durer quatre jours, selon l'agence de presse progouvernementale Anadolu, et ont débuté mardi avec la lecture de l'identité des accusés et des faits qui leurs sont reprochés, avant que ne soient entendus les arguments de la défense. Ces policiers sont accusés d'avoir refusé d'obéir à des ordres leur intimant de défendre le président Erdogan, la nuit du putsch manqué.
Vingt-et-un d'entre eux risquent chacun jusqu'à trois peines de prison à perpétuité pour, notamment, « tentative de renversement de l'ordre constitutionnel » et « tentative de renverser le gouvernement ou de l'empêcher de remplir ses devoirs ». Les huit autres risquent jusqu'à quinze ans d'enfermement pour « appartenance à une organisation terroriste armée ».
(avec AFP)
Les arrestations se poursuivent
En tout, pas loin de 50 000 personnes ont été placées en détention après le coup d’Etat manqué, et les arrestations continuent. Environ un millier de personnes a été arrêté ce lundi. Il s'agit de militaires, mais aussi de policiers et membres de l'administration. Le gouvernement islamo-conservateur les accuse, pour certains, d'avoir pris part au putsch manqué, mais surtout d'appartenir au mouvement « guléniste », les partisans de Fettulah Gülen, le prédicateur devenu la bête noire du président Recep Tayyip Erdogan, après avoir été parmi ses plus proches alliés.
Ce qui parait assez troublant, c'est que la plupart des militaires qui ont participé au coup d'Etat manqué étaient déjà sur les listes du gouvernement turc, qui voulait lancer une vaste épuration au sein de l'armée. Après le putsch, l'épuration a visé toute la société turque. Près de 150 000 personnes ont été limogées dans l'armée, la police et dans la fonction publique.
La presse turque d'opposition a également subi les foudres du régime de Recep Tayyip Erdogan. Pas moins de 100 professionnels des médias sont incarcérés en Turquie, dont au moins une quarantaine pour leurs activités journalistiques, et plus de 150 médias ont été fermés.
SOURCE : rfi
Les premières audiences doivent durer quatre jours, selon l'agence de presse progouvernementale Anadolu, et ont débuté mardi avec la lecture de l'identité des accusés et des faits qui leurs sont reprochés, avant que ne soient entendus les arguments de la défense. Ces policiers sont accusés d'avoir refusé d'obéir à des ordres leur intimant de défendre le président Erdogan, la nuit du putsch manqué.
Vingt-et-un d'entre eux risquent chacun jusqu'à trois peines de prison à perpétuité pour, notamment, « tentative de renversement de l'ordre constitutionnel » et « tentative de renverser le gouvernement ou de l'empêcher de remplir ses devoirs ». Les huit autres risquent jusqu'à quinze ans d'enfermement pour « appartenance à une organisation terroriste armée ».
(avec AFP)
Les arrestations se poursuivent
En tout, pas loin de 50 000 personnes ont été placées en détention après le coup d’Etat manqué, et les arrestations continuent. Environ un millier de personnes a été arrêté ce lundi. Il s'agit de militaires, mais aussi de policiers et membres de l'administration. Le gouvernement islamo-conservateur les accuse, pour certains, d'avoir pris part au putsch manqué, mais surtout d'appartenir au mouvement « guléniste », les partisans de Fettulah Gülen, le prédicateur devenu la bête noire du président Recep Tayyip Erdogan, après avoir été parmi ses plus proches alliés.
Ce qui parait assez troublant, c'est que la plupart des militaires qui ont participé au coup d'Etat manqué étaient déjà sur les listes du gouvernement turc, qui voulait lancer une vaste épuration au sein de l'armée. Après le putsch, l'épuration a visé toute la société turque. Près de 150 000 personnes ont été limogées dans l'armée, la police et dans la fonction publique.
La presse turque d'opposition a également subi les foudres du régime de Recep Tayyip Erdogan. Pas moins de 100 professionnels des médias sont incarcérés en Turquie, dont au moins une quarantaine pour leurs activités journalistiques, et plus de 150 médias ont été fermés.
SOURCE : rfi
Charniers civils à Alep : le discours officiel servi à la population européenne est «monomaniaque»
Horrifié par la découverte
macabre de fosses de civils torturés dans un ancien quartier tenu par
l'opposition, le député Nicolas Dhuicq analyse le quasi silence autour
d'elle comme le reflet du traitement manichéen et à sens unique de la
Syrie.
RT France : Plusieurs charniers ont été découvert hier
à Alep par la Défense russe dans une prison administrée par les
rebelles. Les premières analyses ont montré la présence d'une vingtaine
de corps dont des femmes et des enfants, la plupart avec des traces de
tortures. Cette découverte est-elle étonnante?Nicolas Dhuicq (N. D.) : J'ai tout d'abord eu une réaction d'effroi, comme à chaque fois que l'on a des révélations macabres de ce type, quelles que soient les personnes qui ont été massacrées. Mais cela ne m'étonne pas. L'histoire de la rébellion et de la guerre civile en Syrie est celle de l'islamisation très rapide. Je ne suis donc pas étonné qu'avant de partir ces gens aient réglé les comptes et éliminé toutes les personnes qu'ils souhaitaient éliminer.
Certaines victimes sont recevables pour la doxa officielle. Les autres, il vaut mieux ne pas en parlerRT France : Alors que la découverte des charniers de civils à Srebrenica avait entraîné une vague d'indignation en Europe, il n'y a eu quasiment aucune réaction politique pour ceux-ci et une simple dépêche AFP reprise par une poignée de médias français. Comment expliquer cela ?
N. D. : Je pense que malheureusement il y a une espèce de doxa officielle ou d'idéologie dominante dans les médias principaux qui fait qu'il y a les bons et les mauvais. Personne n'a parlé des victimes d'Alep-ouest ciblées par les obus des islamistes. On évoquait automatiquement et uniquement celles d'Alep-est. Avec les charniers, on constate le même traitement. Certaines victimes sont recevables pour la doxa officielle. Les autres, il vaut mieux ne pas en parler parce qu'elles remettent en cause l'idéologie dominante.
Il faudra du temps pour reconnaître l'action positive de la Russie dans la guerre en SyrieRT France : De l'armement lourd et de nombreuses mines ont également été trouvés dans les anciens quartiers tenus par l'opposition à Alep-Est. Toutes ces révélations peuvent-elles permettre d'en finir avec la rhétorique des «rebelles modérés» ?
N. D. : Laisser des explosifs pour tuer un maximum de combattants de l'autre camp est une tactique courante en guerre urbaine. En ce sens on voit que les dits-rebelles, c'est-à-dire pour moi les islamistes, savent très bien utiliser les techniques que l'on a connues dans bien d'autres conflits. Je pense notamment à l'Afghanistan ou au Vietnam, quelles que soient les puissances combattantes à l'époque. Il y aura un énorme travail pour déminer entièrement la Syrie, comme toujours dans ce type de conflit. Il est quasiment certain malheureusement que d'autres charniers soient découverts. Les islamistes, qui ne tolèrent que ceux qui leur ressemblent et considèrent que ceux qui ne leur ressemblent pas doivent être transformés en esclaves ou décapités, ont certainement mené des exactions multiples dans les zones qu'ils contrôlaient. Il faut s'attendre à d'autres découvertes. Cela pourra jouer sur les mentalités.
Je pense qu'une partie de la population européenne va commencer à se rendre compte que le discours qu'on leur a servi était singulièrement monomaniaque, orienté dans un seul sens avec un camp du bien et un camp du mal. Elle va progressivement prendre conscience que, quelle que soit la nature du régime de Bachar Al-Assad, il n'y avait pas intérêt à ce qu'il tombe sinon c'était un massacre généralisé et une déstabilisation du Moyen-Orient qui aurait dépassé la Syrie et touché également le Liban et la Jordanie qui accueillent un grand nombre de réfugiés. Malheureusement, il restera toujours des personnes qui auront du mal à admettre et reconnaître la vérité. On a pu voir l'exemple du massacre de Katyn durant la Deuxième Guerre mondiale dans l'histoire de la grande guerre patriotique russe et dans celles de ses relations avec la Pologne. L'armée rouge, après les accords germano-soviétiques, a massacré tous les jeunes officiers polonais. Il a fallu des années pour reconnaître cette réalité. Je pense qu'il en sera de même à Alep : il faudra du temps pour reconnaître l'action positive de la Russie dans la guerre en Syrie, admettre la grande complexité de la situation et que les médias principaux et la pensée dominante changent et comprennent qu'ils se sont trompés.
L'enjeu de l'élection présidentielle sera de savoir si la diplomatie française reviendra enfin à un principe de réalitéRT France : Le destin d'Alep risque-t-il d'être désormais passé sous silence en attendant cette prise de conscience ?
N. D. : L'immense majorité des populations européennes est d'abord concernée par ses problèmes immédiats : l'emploi et l'économie. Les préoccupations de ces populations autour de la guerre en Syrie sont très variables car tout cela parait malheureusement très lointain. Leur faire comprendre que notre avenir se joue aussi là-bas, c'est le travail que nous essayons de faire avec quelques parlementaires. Mais vis-a-vis des hommes politiques, je pense que ce sera tout l'enjeu des élections présidentielles. A savoir si la diplomatie française reviendra enfin à un principe de réalité. Si elle cessera le suivisme à la fois de la doctrine Brzezinski en Europe centrale et de la vision des néo-conservateurs américains. Même s'il ne faut pas encenser Donald Trump sur des promesses qu'il n'a pas encore tenues, c'est tout l'intérêt de son élection. Elle représente la fin de la doctrine des néo-conservateurs américains. C'est toute la question à venir en France ces prochains mois : est-ce que la diplomatie française reprendra son rôle et nouera des partenariats avec des pays comme la Russie ou est-ce qu'on continuera à avoir, comme on dit, un métro de retard.
SOURCE :francais.rt
Accusations officielles de soutien américain à Daesh : mais à quoi joue Recep Erdogan ?
Prudent face à la déclaration
tonitruante du président turc annonçant posséder des preuves de l'aide
qu'auraient apporté les Etats-Unis au groupe terroriste, Thierry Mariani
analyse ce revirement dans les rapports troubles entre la Turquie et
Daesh.
RT France : Recep Tayyip Erdogan a
annoncé en pleine conférence de presse avoir des preuves en photos et
vidéos du soutien qu'auraient apporté les Etats-Unis à Daesh. Si l'on ne
sait encore rien de ces preuves, comment une telle bombe diplomatique
peut-elle influencer les relations entre Washington et Ankara ?Thierry Mariani (T. M.) : Il faut avant tout attendre de les voir. Vous savez, depuis Colin Powell expliquant à l'ONU qu'il a les preuves de l'existence des armes de destruction massive en Irak, j'ai tendance à me méfier fortement des preuves. Sans les voir, il est difficile d'imaginer leurs répercussions. Mais si, et seulement si, cela s'avère formellement vrai, ce ne serait pas une véritable découverte. Les Etats-Unis ont toujours pensé que certains terroristes étaient fréquentables. Nous avons eu un ministre des Affaires étrangères qui nous disait que le Front Al-Nosra faisait du bon boulot, pour le reprendre au mot. Tout laisse penser que les services occidentaux avec l'appui des monarchies du Golfe ont, à un moment donné, équipé, voire entraîné des groupes qui aujourd'hui se retournent contre eux. Quoiqu'il en soit, il est tout de même assez savoureux de voir cette déclaration de Recep Erdogan. Son jeu, sous la pression des attentats sur son territoire, est en train de s'éclaircir vis-a-vis des terroristes et de Daesh. Mais pendant des années, il est resté très ambigu. Il a considéré pendant longtemps que Daesh pouvait être un allié contre la Syrie et contre les Kurdes. Des combattants de l'Etat islamique ont été soignés pendant des mois et des mois dans des hôpitaux turcs. Alors avant toute chose, j'attend de voir les preuves concrètes.
On voit bien sur le terrain que petit à petit l'Occident disparaîtRT France : Quelles conséquences une telle sortie peut-elle avoir sur les conflits de la région aussi bien en Syrie qu'en Irak ?
T. M. : On voit bien sur le terrain que petit à petit l'Occident disparaît. La situation se négocie de plus en plus entre Irakiens, Syriens, Turcs, Russes et Iraniens. Mais il est trop tôt encore pour imaginer ou analyser les conséquences que cela pourra avoir pour la région. Il faut voir la nature des preuves. Sont-elles irréfutables et incontestables ? Il faut rester pour le moment très prudent. Recep Erdogan ne me paraît pas un modèle de clarté ces dernières années.
C'est une région où personne ne partage les mêmes intérêts que son voisinRT France : Peut-on y voir les prémices de la constitution d'une alliance entre Moscou, Damas, Téhéran et Ankara dans la lutte contre le terrorisme au Moyen-Orient ?
T. M. : Ce n'est pas aussi évident. Chaque Etat défend ses intérêts. Le problème majeur pour la Turquie dans son intervention en Syrie, c'est d'éviter à tout prix la constitution d'un Etat kurde. S'ajoute à cela une rivalité historique entre Bachar el-Assad et Recep Tayyip Erdogan. C'est une région où personne ne partage les mêmes intérêts que son voisin, mais par moment il peut y avoir des combats convergents. Seulement par moment.
SOURCE : francais.rt
Qui se cache derrière les nouvelles chaines de télévision en Côte d’Ivoire
Avec la libéralisation de son espace
audiovisuel, la Côte d’Ivoire a autorisé depuis ce 14 décembre 4
sociétés (Life TV, SACI, Optimum Médias Côte d’Ivoire, Sorano-CI) à
lancer localement leurs télévisions privées commerciales. Et chacune a
constitué une écurie faite de grosses têtes qui devrait aider à faire la
différence dans la rude concurrence qui s’annonce.
Avec Life TV, le magnat de la communication, Fabrice Sawegnon, réussi à mettre pied dans l’audiovisuel où il compte certainement prolonger ses succès engrangés notamment dans la presse écrite, un secteur qu’il a contribué à tirer vers le haut avec des supports tels Life et Tycoon.
Optimum Médias Côte d’Ivoire s’est attaché les services de Yves Zogbo Junior, animateur de radio émérite de réputation internationale et Di Nacera Philippe Girod, ex directeur général de la chaîne d’information francophone FRANCE 24. Ce dernier occupe la fonction de directeur général adjoint et est comme le premier, administrateur de l’entreprise. La direction, elle, est l’affaire de Jean-Philippe Kabore, passé par 3A Telesud.
La SACI, la société audiovisuelle de Côte d’Ivoire, est pour sa part intimement liée au groupe français Canal +. L’entreprise compte comme administrateur, outre Canal Plus Overseas, François Deplanck et Serge Agnero entre autres, tous membres de l’écurie du groupe français. A la tête de la société a été nommé Damiano Malchiodi, premier responsable de la chaîne A+ du groupe dédiée au continent africain.
Sorano-CI, est la société exploitante de Radio Nostalgie, la première radio commerciale du pays. Propriété de Dominique Ouattara, la première dame de Côte d’Ivoire, l’entreprise est présidée par son fils Loïc Folloroux, homme d’affaires très actif dans le négoce du cacao.
Pour l’heure, l’on ne sait pas grand-chose de la stratégie de ces nouveaux médias pour tenter de s’attirer les faveurs des téléspectateurs ivoiriens, encore moins le timing choisi pour paraître au grand jour. Mais pour les analystes, la principale économie de la zone UEMOA recèle d’un marché publicitaire capable d’assurer la viabilité de ces chaînes.
« C’est certain, ce sera du très haut niveau. On s’attend à avoir des chaînes de très grande qualité et il faut croire que la Côte d’Ivoire fera mieux que tout ce qui se fait actuellement dans la sous-région » a confié à Financial Afrik un expert audiovisuel.
SOURCE :imatin
La CEI annonce la reprise des législatives à Guiglo sous-préfecture, jeudi
Dans un communiqué transmis à APA, la CEI ‘’informe la Communauté
nationale que lors de l’élection des députés à l’Assemblée Nationale du
18 décembre 2016, dans la Circonscription électorale N°034- Bédy-
Goazon, Kaadé et Nizaho, Communes et sous-préfectures, Guiglo,
Sous-préfectures, il a été enregistré une égalité parfaite de suffrages
exprimés entre les candidats MM. Guéï Desseloué Léonard (Indépendant) et
Sarr Bohé Marius Melaine Degbahoua (RHDP) arrivés en tête’’.
Par conséquent et conformément aux dispositions légales en vigueur, ajoute le communiqué, ‘’le scrutin sera repris dans cette circonscription le Jeudi 29 décembre 2016’’.
‘’Le scrutin sera ouvert à 08 Heures et clos à 18Heures’’, précise la CEI selon qui , ’’la campagne électorale démarre le mardi 27 décembre 2016 à 01 heure et prendra fin le mercredi 28 décembre 2016 à minuit’’.
Les résultats officiels des élections législatives du 18 décembre communiqués par la Commission électorale indépendante (CEI) ont donné le RHDP largement majoritaire avec 167 sièges, suivi des candidats indépendants avec 75 sièges.
Ensuite viennent successivement l'Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (UDPCI) d'Abdallah Albert Toikeusse Mabri qui a obtenu 6 sièges. Le Front populaire ivoirien (FPI, opposition) de Pascal Affi N'guessan et l'Union pour la Côte d’Ivoire (UPCI) de Gnamien Konan ont de leur côté obtenu chacun 3 sièges.
- See more at: http://www.apanews.net/news/fr/article.php?id=4870934#sthash.o8cvogbf.dpuf
SOURCE :lebabi
Par conséquent et conformément aux dispositions légales en vigueur, ajoute le communiqué, ‘’le scrutin sera repris dans cette circonscription le Jeudi 29 décembre 2016’’.
‘’Le scrutin sera ouvert à 08 Heures et clos à 18Heures’’, précise la CEI selon qui , ’’la campagne électorale démarre le mardi 27 décembre 2016 à 01 heure et prendra fin le mercredi 28 décembre 2016 à minuit’’.
Les résultats officiels des élections législatives du 18 décembre communiqués par la Commission électorale indépendante (CEI) ont donné le RHDP largement majoritaire avec 167 sièges, suivi des candidats indépendants avec 75 sièges.
Ensuite viennent successivement l'Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (UDPCI) d'Abdallah Albert Toikeusse Mabri qui a obtenu 6 sièges. Le Front populaire ivoirien (FPI, opposition) de Pascal Affi N'guessan et l'Union pour la Côte d’Ivoire (UPCI) de Gnamien Konan ont de leur côté obtenu chacun 3 sièges.
- See more at: http://www.apanews.net/news/fr/article.php?id=4870934#sthash.o8cvogbf.dpuf
SOURCE :lebabi
Le manque de carburant à l'origine du crash de l'avion qui a tué 19 footballeurs de Chapecoense ?
L'avion de la compagnie
bolivienne LaMia, qui s'est écrasé fin novembre en Colombie, faisant 71
morts, dont 19 footballeurs du club brésilien Chapecoense, aurait manqué
de carburant, selon les résultats préliminaires de l'enquête.
Une mauvaise gestion du
réservoir à l’origine du drame ? A en croire les premières conclusions
de l’enquête de l’Aviation civile colombienne sur le crash de l’avion de
la compagnie LaMia du 28 novembre et présenté le 26 décembre à Bogota,
c’est bien possible. Les pilotes «étaient conscients des limitations de
carburant qu'ils devaient prendre en compte et qui n'était
pas suffisant», a déclaré le secrétaire de la sécurité de l'Aviation
civile colombienne, le colonel Freddy Bonilla, lors d'une conférence de
presse.Étrangement, ils n'en ont cependant pas informé les autorités aéronautiques colombiennes. Le signalement d’urgence n’est intervenu que sept minutes avant que l’engin ne percute le flanc d’une montagne des environs de Medellin, ville de l’ouest colombien rendue célèbre par le trafiquant de cocaïne Pablo Escobar.
Erreur humaine ?
Au départ, le pilote ainsi que son co-pilote auraient pensé atterrir à à Bogota ou à Leticia (sud) du fait de la «limite de carburant». Mais d’après Freddy Bonilla, ils n’ont fait aucune demande en ce sens.«A ce jour, nous n'avons aucune preuve montrant qu'un facteur technique ait causé l'accident, tout est lié à un facteur humain et de gestion», a-t-il ajouté, précisant qu'en outre l'avion était en excès de poids de près de 500 kilogrammes, mais que cela n'avait pas été «déterminant» dans l'accident.
Le soir du 28 novembre 2016 à à 21H53, l'un des moteurs du vol 2933 de LaMia Airlines s'est arrêté. Trois minutes plus tard, les quatre ont cessé de fonctionner. A 21H57, l’état d’urgence a été déclaré par l’équipage qui a informé d’une «panne électrique totale» et d’un manque de carburant. C’est à ce moment que l’engin a disparu des radars. Une minute plus tard, le commandant a demandé à atterrir en urgence et l’avion est descendu à 9 000 pieds soit approximativement 1 000 pieds en dessous de l'altitude minimale requise pour la zone.
Il s’est écrasé sur le flanc d’une montagne de Cerro Gordo à environ 50 kilomètres de Medellin, à 21H58 coûtant la vie à 71 personnes.
SOURCE :francais.rt
RELIGION PAROLE DU JOUR
Bonjour koffi,
|
|
|
|
|
Merci d'exister,
lundi 26 décembre 2016
RELIGION PAROLE DU JOUR
Bonjour koffi,
|
|
|
|
|
Merci d'exister,
dimanche 25 décembre 2016
samedi 24 décembre 2016
Inscription à :
Articles (Atom)