Les engagements politiques pris imposent une limite de 50 ppm
(parties par million) bien inférieure aux plafonds actuellement en
vigueur.
La réunion est intervenue en présence de l’International Council on
Clean Transportation, organisation américaine à l’origine du scandale
sur les émissions de Volkswagen, la compagnie pétrolière Nigeria
National Petroleum Corporation (NNPC), l’African Refiners Association
(ARA), ainsi que des représentants de la CEDEAO.
Le Ghana, qui était représenté lors de la réunion, « a décidé
récemment d’abaisser à 50 ppm, contre 3 000 ppm actuellement, le plafond
de concentration de sulfure inclus dans les carburants distribués sur
son sol. Et avant lui, la Communauté d’Afrique de l’Est avait fait de
même dès 2015. Les pays réunis à Abuja ont voulu prendre des engagements
similaires », analyse Gian-Valentino Viredaz, spécialiste des
Recherches en matières première au sein de l’ONG Public Eye.
SOURCE :lebabi
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