L’affaire a fait grand bruit sur les médias sociaux ivoiriens. A en croire un site d’information, l’avion présidentiel a été refusé au président de l’Assemblée nationale (PAN). Interrogé, un collaborateur du chef du parlement a livré sa version sur la question.
Ebruitée
par un site d’information ce mardi 22 novembre 2016, l’affaire de
l’avion présidentiel qui aurait été refusé à Guillaume Soro, président
de l’Assemblée nationale a été abondamment commentée par la classe
politique ivoirienne. A en croire le site web, le chef du parlement qui
s’apprêtait à effectuer un voyage au Maroc aurait eu maille à partir
avec les éléments de la sécurité du Groupement de transport aérien et de
liaison (GATL).
« Des
gendarmes ont fait irruption sur le tarmac de l’aéroport pour contrôler
le départ de l'ancien premier ministre. Une situation survenue en
l'absence du chef de l'Etat, qui a fait monter la tension auprès des
proches de Guillaume Soro, surpris et en colère de voir leur mentor
traité de la sorte dans une ambiance de suspicion à tout va », indique
dans sa publication le journal.
Interrogé
par L’Inter, Touré Moussa, Conseiller en Communication de Guillaume
Soro s’est prononcé sur la question. A l’en croire, cette information
est tout simplement infondée. « Il n’y a pas eu d’hostilité jusqu'à ce
que les gendarmes qui assuraient la sécurité se rendent compte q’il
s’agissait du président Soro, a expliqué Touré Moussa » qui a parlé
d’une intox.
En outre, le Conseiller de Guillaume Soro
a fait savoir que « pour des missions privées, le PAN utilise des vos
prises comme c’est le cas pour son voyage au Maroc ».
SOURCE : linfodrome
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